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Arrête d'être trop gentille !



J’ai arrêté d’être trop « gentille » parce que MAINTENANT je vois enfin ma propre valeur 

Tout le monde me disait que j’étais trop gentille. J’étais le genre de personne à dire désolée après chaque phrase.

Le genre de personne à proposer de conduire, même si j’avais peu d’essence. Le genre de personne à agir comme si mes amis avaient raison dans toutes les situations, même quand il était clair qu’ils avaient tort.

Le genre de personne à éviter les conflits en disant oui, à faire plus pour les autres que je n’ai jamais fait pour moi-même.

Si vous agissez comme si j’étais inférieure à vous, si vous me traitez comme une moins que rien, alors je prendrai mes distances sans dire un mot. Je ne vous donnerai pas d’avertissement. Je ne vous maudirai pas. Je vous sortirai de ma vie sans regarder les dégâts. Je ne veux plus traiter avec des gens qui ne voient pas ma valeur.

Si vous avez besoin que je vous rende un service, je n’accepterai plus automatiquement de vous aider. J’ai appris que je devais prendre soin de ma propre santé avant d’aider les autres. Je dois veiller à être dans un endroit sûr. Je ne peux plus vous donner des morceaux de moi-même, quand il n’y a plus rien à donner. Je ne peux plus me plier en quatre pour que votre vie vous soit un peu plus convenable.

Je vous dirai vraiment ce que je pense, même si c’est la dernière chose que vous voulez entendre. Je vous dirai que vous êtes stupide de sortir avec ce type ou d’avoir quitté cette fille. Je vous dirai ce qui est le mieux pour vous selon mon point de vue, même si vous pourriez me détester pour cela. Même si je pourrais vous perdre à cause de cela.

Je dirai seulement désolée si je le pense vraiment. Je ne m’excuserai plus quand quelqu’un d’autre se heurtera à moi. Je ne m’excuserai plus d’avoir dit ce que je pensais. Je ne m’excuserai plus d’être authentique au lieu d’essayer de me fondre dans la masse.

Je ne remplirai plus mon emploi du temps, de choses que je ne veux pas faire, dans l’espoir de rendre les autres heureux. Je ne passerai plus mon temps à m’inquiéter de ce que les gens pensent de moi. Je ne céderai plus à la pression de mes pairs. Je ne laisserai plus les autres profiter de moi. Je ne les laisserai plus se servir de moi. Je ne les laisserai plus me donner le sentiment d’être une moins que rien.

J’ai arrêté d’être trop gentille parce que je vois enfin ma propre valeur. Je sais enfin ce que je mérite. Je comprends enfin qu’il n’est pas égoïste de prendre soin de moi-même pour un changement.
Je vis enfin ma vie comme je veux la vivre.

~ Holly Riordan 

Le poids des non-dits





"Ce qui pèse le plus, dans la vie, 

ce ne sont pas les années qui passent !


C'est tout ce qui n'a pas été dit, 

tous les conflits non réglés, 

tous les regrets, 

tout ce qui a été tu et dissimulé.


Je ne savais pas, 

je ne pensais pas, 

qu'une mémoire remplie de silences 

et de regards évités, 

pouvaient devenir un sac de sable, 

rendant la marche si difficile."




Tahar Ben Jelloun


Le Nirvana Josette Sauthier
www.josettesauthier.ch

Protégez-vous des influences négatives



Comment éviter de vous laisser affecter par les mauvaises humeurs, les colères ou la négativité des autres personnes ?

Vous pouvez apprendre à guérir ces énergies négatives, à aider les autres à élever leur conscience, à transformer vos relations et à découvrir la manière de vous relier avec les énergies subtiles de l’Univers.

Vous pouvez devenir conscient de votre propre énergie, vous débarrasser de toute peur, rester centré sur le positif en dépit de la négativité des autres, créer les images que vous voulez que les autres aient de vous et trouver votre plus profonde vérité pour la communiquer aux autres.

En explorant vos capacités télépathiques, vous pouvez contrôler les messages que vous émettez et savoir ce que vous devez faire lorsque les autres vous attirent à eux ou vous repoussent ; vous pouvez aussi diriger et interpréter les messages non-verbaux que vous recevez sans cesse.

Vous pouvez devenir conscient des guidances intérieures que vous recevez et apprendre à appeler votre âme ou votre guide pour ces conseils.

En apprenant à vivre avec plus de conscience et de joie, vous découvrirez la sagesse qui consiste à reconnaître ce qui est réel de ce qui ne l’est pas, ce qui est vous de ce qui ne l’est pas.

C’est un apprentissage pour mener l’inconscient vers une plus grande conscience.

Vous saurez reconnaître ce qui vous élève et ce qui vous embourbe.

En apprenant à contrôler votre énergie, vous resterez plus ouvert et plus vulnérable, puisqu’il n’est plus nécessaire de vous protéger et de vous défendre.

Vous détenez votre meilleur ami et enseignant ; vous disposez de tout ce dont vous avez besoin pour trouver vos propres réponses."

Sanaya Roman

Le Nirvana Josette Sauthier
www.josettesauthier.ch

Comment aimer sans juger ?



Vous pouvez dès maintenant essayer d’aimer les autres plus profondément en les acceptant tels qu’ils sont, avec leurs faiblesses et leurs forces, sans les juger.

Vous avez certainement une personne dans votre entourage proche, un collègue, une connaissance, qui vous agace, vous énerve, parce qu'elle a des côtés qui ne correspondent pas aux vôtres.

Et si vous commenciez par inverser la tendance, et chercher plutôt ses atouts, ses points forts ? Au lieu de mettre toujours en lumière ses petits travers ?

Tout comme vous ne pouvez pas demander à un chat d'aboyer, vous ne pourrez jamais changer certaines personnes.

Mais au lieu de vous focaliser sur les défauts, leurs différences, apprenez à reconnaître leurs qualités, à leur dire des gentillesses, à leur faire plaisir, à les aider.

Ceci parce que vous comprenez qu’aimer est bien plus agréable que détester ou réagir négativement !

Prêt à commencer ? Et pourquoi pas d'abord envers-vous même ? Car charité bien ordonnée commence par soi-même, n'est-ce pas ?

Réflexion personnelle de Josette Sauthier,




Le Nirvana Josette Sauthier www.josettesauthier.ch

Je t'aime seulement si...


Un amour CONDITIONNEL n'est pas un amour, c'est du marchandage. 

Je t'aime SI tu me donnes ce que j'ai besoin. Je t'aime SI tu changes, SI tu es comme je le désire, SI tu fais ceci ou cela...

L'amour n'est pas une opération commerciale, ni de la comptabilité, on ne fait pas crédit.

AIMER c'est accepter l'autre tel qu'il est, et surtout dans ses différences. 
On ne cherche pas un clone de nous-mêmes, sinon ce sera l'enfer. 

L'autre ne nous doit rien et ne nous appartient pas.
Sa présence est un cadeau.

Je ne suis responsable QUE de moi-même.

Même si je pense qu'il serait mieux s'il changeait pour devenir ce que moi je crois qu'il devrait être, c'est LUI qui doit s'en rendre compte.

Si voius essayez de le changer, c'est du contrôle, c'est une atteinte à sa liberté.

Si vous limitez sa liberté, vous limitez en même temps la vôtre, car vous devrez toujours contrôler ce qu'il fait.
Acceptez l'autre tel qu'il est, et si vous n'y parvenez pas, peut-être que quelqu'un d'autre y parviendra !

Josette Sauthier, copie interdite sur d'autres blogs, sites, ou Pages Facebook.






A quoi sert ce blog ?

Pour travailler sur vos problèmes, vos difficultés qui vous empêchent d'avancer, comme le pardon, le passé, vos relations avec les autres, vous faire respecter, savoir dire non, aider sans envahir, l'engagement envers l'autre, la confiance en vous, les croyances négatives, etc. j'ai écrit de nombreux articles pour vous aider, sur un autre site.
Vous pouvez vous abonner, c'est gratuit, pour recevoir dans votre boîte mail un à deux articles par semaine.
Au plaisir de compter sur votre fidélité et en soutenant de tout coeur votre cheminement vers le bonheur.

Josette

LE NIRVANA Josette Sauthier 

Blog de développement personnel écrit par une thérapeute en relation d'aide pour vous aider à mieux gérer vos émotions et vos relations.



Le Nirvana Josette Sauthier www.josettesauthier.ch

Comment accepter les autres tels qu'ils sont ?


On ne peut pas changer les gens qui nous entourent.

C'est comme si vous avez un chat, vous ne pouvez pas lui demander d'aboyer, n'est-ce pas ?
Vous ne changerez jamais les gens, mais vous pouvez changer votre perception de leur comportement.
Vous pouvez les accepter tels qu'ils sont en songeant qu'ils sont à un degré d'évolution différent du vôtre.
Ils sont comme ils sont, point barre.

Leur comportement vous irrite ? leurs façons d'être, d'agir, de parler, de s'habiller, de manger, de sortir vous dérange ? c'est votre idée de la perfection qui est touchée, là...vous aimeriez que ces personnes soient comme vous, fassent comme vous.

Ces attentes créent de la déception, de l'agacement, ou de la colère.
Chacun est tel qu'il est et a le droit d'être tel qu'il est.
Plus vite vous arriverez à l'accepter, plus vite vous serez en paix.

"J'accepte X tel qu'il est et je le laisse être tel qu'il est, pour ma paix intérieure." Voici une phrase à vous répéter mentalement lorsque votre collègue, votre enfant, votre conjoint, votre mère, votre voisine, etc. vous irrite, vous énerve ou a un comportement que vous n'approuvez pas.

Voici une citation qui résume bien mon article :

"Une partie importante de la sagesse et de la connaissance consiste à ne plus vouloir transformer les gens en ce qu'ils ne sont pas, mais à accepter ce qu'ils sont, à comprendre leur expérience de vie."
Fun Chang

Article écrit par Josette Sauthier, copie interdite.


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Les relations toxiques qui nous vampirisent.



Comment faire lorsque nous sommes confrontés à des gens qui nous "pompent" notre énergie et nous "tirent en bas"?

Des personnes qui ressassent toujours les mêmes problèmes, qui se complaisent dans leur mélodrame et qui semblent avoir tous les malheurs du monde, qui ne voient que le négatif en toute chose et s'imaginent mille et une catastrophe autour d'elles...?

Des gens qui ne cherchent jamais des solutions, qui ont le monde contre eux, qui arrivent à nous plomber le moral en cinq minutes.

Ou les personnes qui ne vous écoutent jamais, ne demandent jamais comment vous allez, mais qui centralisent toute la conversation sur leurs ennuis de santé, de travail, de famille, etc....

Si nous sommes vraiment obligés de les côtoyer, essayons de limiter le temps passé en leur présence.
Nous pouvons garder le contact par sms ou téléphoner de temps en temps en disant "là j'ai 10 minutes à te consacrer avant de partir, par exemple..."

Sans rejeter la personne qui a besoin d'écoute et d'empathie, nous avons le droit de ne pas vouloir être "pollués" par leurs plaintes répétitives.

Et sans culpabiliser, parce que si nous sommes "vidés" après un moment passé avec eux, notre entourage et nous-mêmes allons en pâtir!

Ces personnes ne cherchent pas vraiment de l'aide, mais un public, un auditoire..

Si nous ne pouvons pas éviter de les rencontrer, et que la personne recommence à se lamenter, se plaindre, et gémir sur tout ce qui lui arrive, nous pouvons, gentiment mais fermement, lui dire "tu m'as déjà raconté tout cela la dernière fois, je le sais déjà...ne pourrais-tu pas me parler d'autre chose"?

Ou faire l'exercice de la bulle de protection avant de la rencontrer.

Ou faire suivre la rencontre par une petite "récompense" que l'on s'accorde, avec un moment heureux, joyeux, avec une personne qui nous recharge en énergie, se faire un petit plaisir ensuite, question de se ressourcer....ou prendre une grande douche pour se nettoyer du négatif et remercier l'Univers de la chance que nous avons d'être A NOTRE PLACE plutôt qu'à celle de la personne négative que nous avons rencontrée.


Travail personnel de Josette Sauthier, copié-collé et publications sur d'autres sites interdit. 


Le Nirvana Josette Sauthier
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Ai-je un comportement de victime ?


Comment savoir si on a, consciemment ou non, un comportement de victime, qui incite les autres à nous exploiter.
J'ai un comportement de victime si :

- je ne sais pas et je n'ose pas dire NON quand on me demande un service et que ça ne m'arrange pas vraiment.
- je n'ose pas exprimer mon avis, donner mon option, faire valoir mes besoins, mes désirs.
- je m'écrase devant les autres et je leur donne toujours raison.
- je me laisse exploiter : c'est toujours moi qui fait les corvées, la plus grande part du travail et je n'ose rien dire, même si c'est l'autre qui en reçoit les complimentss.
- je n'ose pas m'habiller comme je le désire si ça ne plaît pas à ma famille, à mon conjoint, j'adopte le look que lui aime et je me laisse imposer un style d'habillement qui ne me correspond pas vraiment, pour lui faire plaisir.
- je fais toujours passer les autres avant moi, je trouve ça normal
- je me laisse envahir sans réagir, je n'ose pas mettre des limites
- ce n'est jamais moi qui choisis le restaurant, le film à voir, la disco où on passera la soirée, je suis les autres et ce qu'ils ont décidé...

Et bien d'autres comportements encore, si vous avez des expériences vécues, n'hésitez pas à les partager avec nous dans un commentaire, je suis sûre que vous n'êtes pas la seule à vivre cela.

Prendre conscience d'un comportement de victime, c'est déjà faire un premier pas pour s'en libérer.
Mais ça c'est un autre chapitre, un autre article, à suivre.

Josette Sauthier





Le Nirvana Josette Sauthier
 www.josettesauthier.ch

Comment être indifférent au jugement des autres ?


Lorsque vous agissez, vous vous demandez trop souvent "que vont penser les autres, que va penser ma collègue, ma famille, mon entourage ? "
Dans ce cas, vous donnez à ces personnes le pouvoir de décider pour vous. Vous donnez à ces personnes le droit de diriger votre vie. Vous pensez que tous ces gens savent mieux que vous ce que vous devez faire.

Ce que les autres pensent, c'est la projection de leur propre façon de voir les choses, ça leur appartient, c'est à eux. Ils sont programmés comme ça !Vous n'êtes pas responsable de leurs pensées, n'est-ce pas ? Vous n'êtes pas responsables de leur vécu, de leurs désirs, de leurs frustrations, ou, en un mot, de leur vie ? Alors laissez aux autres ce qui leur appartient !

Vous avez VOTRE vie à mener, c'est vous qui êtes AU VOLANT de votre véhicule.
Lorsque vous prenez votre voiture, est-ce que vous vous asseyez sur le siège arrière ?
Non, n'est-ce pas, c'est VOUS qui conduisez votre voiture, c'est VOUS qui conduisez VOTRE VIE !

Lorsque vous devez agir, faire un choix, émettre un avis, demandez-vous au fond de vous : "Est-ce que c'est MON choix, est-ce que c'est ce que j'ai envie, vraiment, MOI ?, est-ce que cette décision, opinion, cet acte est en harmonie avec ce que je ressens au fond de moi ?"

Si c'est OUI, alors faites-le ! Donnez-vous ce droit, ne soyez plus la victime des autres, ce que vous serez tant que vous agissez pour plaire aux autres.

Pensez-vous que les autres vous aimeront davantage si vous faites ce qui leur plaît ?
Pensez-vous que les autres aiment davantage les gens sans personnalité, sans avis propre ? Non, ce qu'ils aiment, c'est que vous pliez devant eux, c'est le pouvoir que vous leur donnez !

Si vous êtes au clair sur vos intentions (mon avis est tout aussi important que le leur, ma façon de faire, c'est la mienne et elle est tout aussi valable que la leur...) vous serez bientôt immunisé contre l'opinion de tout un chacun.
Ca ne leur plaît pas, et alors ? ils ont le droit de ne pas être d'accord avec vous.
Tout comme VOUS, vous avez le droit de ne pas être d'accord avec eux.
Dire OUI à l'autre, c'est dire NON à vous-même. Alors dans ce cas, vous êtes leur victime.

Osez vous affirmer, osez être différente, osez exprimer votre personnalité, vous vous sentirez tellement mieux avec vous-même ensuite. C'est ainsi qu'on développe la confiance en soi, c'est ainsi qu'on en vient à mieux s'aimer, parce qu'on se respecte.

Josette Sauthier, copie ou publication sur d'autres blogs, sites ou Pages, interdites.









Comment gérer les personnes qui critiquent sans arrêt ?



Comment réagir face à un groupe de personnes qui critiquent à tout va son entourage et que faire si nous sommes nous-mêmes victimes de critiques?

Les personnes qui passent leur temps à critiquer les autres sont certainement des personnes qui ont peu d'estime d'elles-mêmes...en critiquant les autres et en les rabaissant, elles pensent sans doute se grandir.

Si vous êtes dans un groupe de personnes qui critiquent, pensez bien qu'elles feront de même envers vous dès que vous aurez le dos tourné!

C'est aussi une façon de se rendre intéressant ! colporter des ragots, des bruits, vrais ou faux, attire l'attention de l'auditoire et la tentation est grande d'en rajouter pour garder l'attention, l'intérêt, être écouté...!

Souvent aussi, les personnes qui critiquent ne font qu'exprimer leur propre perception des événements et condamnent tout ce qui n'est pas comme EUX l'aurait fait....

Si vous êtes dans un groupe de personnes qui critiquent, et que ça vous déplaît, vous pouvez soit, ne pas intervenir, soit quitter le groupe, soit, si vous avez le courage, défendre la personne en butte aux médisances en valorisant ses qualités et en mettant en évidence ses bons côtés.

Ou en disant que sa vie lui appartient, qu'elle a le droit d'être ce qu'elle est et d'agir de la façon qui lui paraît à elle, la plus juste.

Si vous êtes seule avec la personne qui critique, et que vous n'avez pas envie d'entendre encore et encore les mêmes doléances, vous pouvez aussi lui dire que vous préférez parler d'autre chose de plus agréable, ou de suggérer à votre interlocuteur d'aller exprimer ses revendications directement à la personne concernée.

Ainsi, on comprendra bientôt que vous n'êtes pas un bon public pour écouter déverser son fiel...

Donner son avis ou énoncer des faits est une chose, descendre en flammes une personne parce qu'elle a d'autres valeurs ou vérités ou interpréter systématiquement à travers une lorgnette "noire" ou tirer des déductions imaginaires malfaisantes, ne fait que cultiver en soi une énergie négative.

Je terminerai par cette belle parole d'Yves Duteil : "on peut sauver quelqu'un avec le bouche-à-bouche, mais on peut faire exactement le contraire avec le bouche-à-oreille."


Article écrit par Josette Sauthier, travail personnel, copié-collé interdit.

Le Nirvana Josette Sauthier
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Comment me faire respecter ?


Avez-vous l'impression que les autres profitent de vous ? N'osez-vous pas être pleinement vous-même, de peur de ne pas être apprécié à votre juste valeur ?

Etes-vous la bonne à tout faire pour votre entourage ? Toujours là pour les autres, mais personne n'est là pour vous lorsque vous avez besoin d'aide ? On ne tient pas compte de votre avis, de votre fatigue, de vos demandes ? On compte sur vous pour tout, en pensant que c'est normal de vous sacrifier ?

Comment faire pour se faire respecter, prendre sa place, s'affirmer ?

Tout d'abord, il faut poser vos limites. Les autres agissent envers vous selon ce que vous avez permis depuis que vous les connaissez. Oh, ça ne va pas changer du jour au lendemain. La première fois que vous direz NON, vous risquez de décontenancer votre entourage. Mais tenez-bon, poser vos limites commence par un premier pas.

Les limites ne sont pas forcément les mêmes au travail, dans votre famille et avec vos amis. Vous tolérez davantage des personnes que vous aimez. Si vous avez, depuis votre enfance, la croyance que les besoins des autres doivent passer avant les vôtres, il faudra inverser cette tendance.

Ne pas réagir lorsque quelqu'un vous manque de respect, c'est ouvrir la porte à d'autres abus. C'est déjà NE PAS VOUS RESPECTER VOUS-MEME, alors si vous ne vous respectez pas, comment voulez-vous que les autres vous respectent ?

Lorsque quelque chose vous fait réagir intérieurement, apprenez déjà à le manifester clairement : "je ne suis pas d'accord" est un bon début, ou, si c'est trop long, le mot NON est déjà un mot très persuasif, court, mais tranchant, qui atteindra son but....Ensuite, la discussion peut être ouverte, et même si vous finissez par dire oui au final, vous aurez exprimé votre avis et vous n'aurez pas accepté d'emblée, mais après négociation, et parce que vous serez cohérente entre votre ressenti et votre acte.

Chaque fois que vous n'êtes pas d'accord intérieurement avec ce que l'autre fait, posez-vous la question : "est-ce que je me respecte, en ce moment ?" et manifestez votre réprobation.

Le respect de soi, c'est aussi la manière dont vous vous traitez : est-ce que je me respecte quand je mange mal, quand je néglige mes besoins, quand je fais trop passer les autres avant moi, est-ce que je respecte mon corps, est-ce que je respecte mes sentiments, est-ce que je respecte mes croyances et mes convictions, est-ce que JE SUIS ?

Charité bien ordonnée commence par soi-même, essayez !!
Ecrit par Josette Sauthier, copie interdite 




Copié-collé interdit. Pourquoi ?

Ces réflexions sont pour vous aider, et sont le fruit de mes expériences professionnelles et personnelles. C'est pourquoi je demande de le respecter, de les lire et de vous inspirer, ici sur ce site, et ne pas les diffuser à tout venant. Priorité à mes lecteurs fidèles, à mes abonnés, prenez ceci comme un cadeau !
Merci de votre compréhension.

Le Nirvana Josette Sauthier
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Les relations amoureuses toxiques.



Pourquoi on tombe souvent (ou toujours) sur des conjoints qui ne nous conviennent pas et qui nous finissent toujours par nous faire du mal ?

Si je ne m'aime pas, je peux tomber amoureuse d'un homme égoïste et incapable d'aimer vraiment et pour lequel je me sacrifierai afin de me l'attacher et de me rendre indispensable.

Mais il y a d'autres facettes de notre personnalité qui peuvent attirer aussi des hommes à problèmes, voyons lesquelles :

Si je suis une femme qui a peur de partager sa vie quotidienne, de laisser quelqu'un entrer complètement dans sa vie, peut-être de peur d'être quittée suite à des souffrances de ruptures passées, et que je ne veux plus ressentir, je peux attirer un homme marié, pas libre, ou qui n'a jamais de temps pour moi, ou un phobique de l'engagement (pour les mêmes raisons que moi, c'est-à-dire quelqu'un qui a énormément souffert d'une rupture et qui évitera de s'attacher pour ne plus revivre cette situation). Je me protège en évitant de m'engager et de m'investir complètement dans la relation.

Si je suis une femme au physique avantageux que je mets en valeur au maximum, que je consacre beaucoup de temps à mon apparence, sur laquelle je mise tout, si je considère que la beauté extérieure est la plus importante, je peux attirer un homme qui a besoin de flatter son ego, qui a besoin d'être admiré et envié, donc qui n'a pas beaucoup d'estime de lui-même (mais qui croit en avoir..) et qui a besoin de prouver sa supériorité en exhibant une femme que les autres hommes lui envieront! Il voudra toujours avoir le dessus et aura certainement un côté macho assez poussé!

Il me demandera d'être parfaite en société, sexy, mais surtout décorative. Et sera certainement très jaloux et possessif!

Si je suis une femme qui a eu un père autoritaire, brutal et violent, sans doute que je serais attirée par un homme qui aura le même caractère, un alcoolique peut-être, un homme qui exercera un contrôle sur ma vie et qui décidera de tout....Ainsi je reste dans le schéma que je connais bien, et je pense sans doute que je ne mérite pas quelqu'un de mieux...

Il est important de faire un travail sur soi, de mieux se connaître, d'avoir conscience de sa valeur, de ses qualités, construire sa personnalité et se faire respecter.

Le jour où nous sommes heureuses par nos propres moyens et que nous savons créer nous-mêmes notre vie et notre bonheur, nous sommes capables de vivre une relation amoureuse saine dans le partage et le respect mutuel.

Je vous le souhaite.

Josette Sauthier, travail personnel, copie interdite.



Pour travailler sur vos problèmes, vos difficultés qui vous empêchent d'avancer, comme le pardon, le passé, vos relations avec les autres, vous faire respecter, savoir dire non, aider sans envahir, l'engagement envers l'autre, la confiance en vous, les croyances négatives, etc. j'ai écrit de nombreux articles pour vous aider, sur un autre site.
Vous pouvez vous abonner, c'est gratuit, pour recevoir dans votre boîte mail un à deux articles par semaine.
Au plaisir de compter sur votre fidélité et en soutenant de tout coeur votre cheminement vers le bonheur.

Josette

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Aider sans perdre toute son énergie



Comment aider les autres sans se faire pomper son énergie ni se faire vampiriser ?
L’idée d’aider les autres serait un fantasme de l’ego, d'après Sri Aurobindo.
Est-ce vraiment une forme subtile de l’ego ? Aider nous donne de l'importance, un sentiment de valeur....

Mais on ne peut pas aider quelqu'un qui ne le veut pas.

Une aide radicale et efficace ne peut venir que du dedans de l'autre
Il faut bien dire que ceux qui croient aider n’apportent pas tous une aide réelle, et parfois, lorsque l’aide s’accompagne d' « influence », elle peut nuire autant qu’aider !

Il en est toujours ainsi dans la nature humaine : les hommes veulent s’aider les une les autres, mais ils ont un mobile caché ou un sentiment dont l’origine est l’ego.
Ce n’est que lorsqu’on vit dans une conscience plus haute qu’il en est autrement.

L’inconvénient, lorsqu’on aide les autres, c’est bien entendu que l’on entre en contact avec leur conscience et leurs difficultés, et aussi que l’on s’extériorise davantage.

Aider les autres sans le laisser vous épuiser, sans lui permettre de vous prendre vos forces.

Par la sympathie, vous entrez en contact avec ce qui est en l’autre et le recevez.

Vous pouvez également donner ou laisser sortir une partie de votre force qui va vers l’autre, ou encore laisser l'autre vous prendre vos forces.

C’est la sympathie vitale qui produit cet effet.

Une calme bienveillance spirituelle ou psychique n’entraîne pas ces réactions.

Endosser les difficultés des autres serait cependant, je le crains, un lourd fardeau pour quiconque, et je doute de l’efficacité de cette méthode.

On peut faire quelque chose de beaucoup plus utile : si l’on a la force, donner de sa force à l’autre.
Si l’on a la paix, répandre sa paix sur l’autre, etc. Cela, on peut le faire sans perdre sa force ou sa paix, si c’est fait comme il faut.

Vouloir, avec une constance inébranlable, le bien de quelqu’un en concentrant cette volonté à la fois dans la tête et dans le cœur, est la meilleure manière possible de l’aider.

Basé et développé sur un texte de Sri Aurobindo, mon interprétation personnelle.
Josette Sauthier


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Se défendre contre les personnes qui nous rabaissent



Les personnes qui écrasent les autre et les méprisent pensent qu'elles sont supérieures à vous.

Elle se trompent grandement !

En effet, mépriser, écraser, c'est ne pas être capable de COMPRENDRE l'autre, 
et ni même essayer, bien souvent...

Quelqu'un qui n'essaie pas de comprendre autrui, ni de se mettre à sa place, 
renonce de ce fait à l'attribut principal de l'homme : l'intelligence.

Répondez au mépris par l'indifférence : la personne qui vous méprise cherche à vous rabaisser parce qu'elle a peur de vous, elle craint que vous ne la dépassiez. Son opinion lui appartient, elle n'est pas le reflet de la vérité.

Ignorez-la, vous êtes ce que vous êtes et elle est ce qu'elle est.
Renoncez à comparer. Mais rappelez-vous vos qualités, vos valeurs, et dites-vous que cette personne n'a pas eu la capacité de les découvrir en vous, C'est SON problème.

Répétez-vous mentalement la phrase magique du Ho'Oponopono :
"Je te pardonne, je t'aime", ou en raccourci :
"La paix dans ton coeur" ou "Dieu te bénisse".
(Lire aussi l'article sur le HO'OPONOPONO)

Et souvenez-vous de ce dicton :

La bave du crapaud n'atteint point la blanche colombe !


Article écrit par Josette Sauthier
Le Nirvana Josette Sauthier
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Est-ce que je me fais manipuler ?



Parfois, on se laisse manipuler malgré soi. Les manipulateurs sont souvent subtils et quand on est trop gentille, on est la proie rêvée !

Cet article vous aidera à identifier les situations où vous vous laissez manipuler.

Je me laisse manipuler, et j'ai un comportement de victime quand :

Je me laisse "avoir" par un vendeur et que j'achète un article dont je n'ai nul besoin.

Je me laisse "tenir la jambe" au téléphone ou dans la rue par une personne qui me raconte sa vie ou ses derniers déboires alors que je suis pressée ou pas disponible pour l'écouter, ou que ça ne m'intéresse pas!

J'accepte de rendre un service sans en avoir vraiment envie, parce que je n'ose pas dire non. Vous pensez être généreuse, et vous l'êtes, mais uniquement quand vous faites DE BON COEUR et spontanément ce qu'on vous demande. Dans certaines situations, vous réfléchissez, mais vous avez toujours LE CHOIX....Si après réflexion, vous CHOISISSEZ avec votre coeur, ce n'est plus de la manipulation, mais un don de soi...

Je vais systématiquement voir le film ou manger au restaurant que mes amis choisissent alors que ce n'est pas ce que j'ai vraiment envie, MOI.

Je range les affaires des autres.

A la maison, je fais le travail dévolu à mon conjoint lors du partage des tâches, mais qu'il néglige systématiquement de faire (bien sûr, il a compris que je le ferais à sa place, le malin!)

J'achète un vêtement qui ne me va pas et que je ne mettrai jamais, parce que la vendeuse me soutient le contraire...

C'est toujours moi qui fais les photocopies, qui range les tasses après la pause, qui fait toutes les corvées. (en espérant me faire aimer et apprécier, mais je ne gagne que le "manque de respect")

C'est toujours moi qui reste après les autres quand il y a du travail en retard!

Au restaurant, j'accepte sans rien dire un plat que je n'ai pas commandé, ou trop cuit alors que je voulais "saignant" etc.

Je me laisse couper la parole.

Je reprends quand même du dessert pour faire plaisir à la maîtresse de maison alors que je suis au régime.

et autres situations que vous identifierez vous-même! Racontez, sous forme de commentaire, ici dessous !

A suivre :Comment se protéger contre les manipulateurs, se défendre et se faire respecter. 

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Exercice pour oublier quelqu'un qui nous obsède


Vous aimeriez qu'une personne qui vous obsède sorte de votre vie, de vos pensées, de votre coeur ou lors d'une rupture, ou pour oublier quelqu'un qui vous a fait du mal et ne plus y penser.

Voici un exercice simple à faire vous-même chez vous...

Allongez vous et fermez les yeux..
Détendez-vous...

Imaginez vous dans une belle forêt ou un bel endroit que vous aimez.

A votre bras est attaché un ballon gonflé à l'hélium, qui représente le visage de la personne que vous désirez oublier...
Visualisez bien cette personne, et le ballon, bien attaché à votre poignet...
Ensuite lentement, défaites le lien du ballon...et dites avec conviction :
Toi (nommez le...) maintenant je te libère pour toujours et tu disparais de ma vie.....

Voyez le ballon monter dans le ciel, devenir de plus en plus petit, partir à l'horizon jusqu'à n'être qu'un petit point minuscule, et disparaître complètement...

Sentez comme vous êtes léger, ressentez en vous la délivrance, le soulagement, et dites de nouveau avec conviction..."Maintenant, je suis libérée, X..... tu as disparu de ma vie...."

Restez un moment avec cette sensation, puis relevez vous....observez vous....

Si nécessaire, refaites encore les jours suivants....le ballon sera certainement chaque fois plus petit, le visage moins précis, plus flou, c'est preuve que le souvenir a déjà été bien estompé..

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Le Nirvana Josette Sauthier
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Les femmes qui contrôlent trop (castratrices) suite


Dans le livre "Comment garder son conjoint en lui disant toujours OUI", l'écrivain américain, Laura Doyle nous donne les recettes du bonheur conjugal, et certains titres de chapitres vous donneront certainement l'impression de retourner au siècle dernier ! : «Respectez votre homme en l’écoutant», «Dites adieu à l’égalité», «montrez votre vulnérabilité», etc.

Le bonheur serait à ce prix ! Laura Doyle, une «control woman» de haut niveau, en avait marre de devoir tout gérer à la maison :les paiements, toute l'organisation, les loisirs, les invitations, la voiture, sans oublier le choix des vêtements de son mari.

Et ceci sans retour, ni respect, ni mercis, peu de démonstrations d'affection et quasiment aucune considération...!

Fatiguée, malheureuse, et au bord du divorce, elle a constaté que son mari était beaucoup plus agréable à vivre et avait davantage le sens de l’initiative quand elle cessait de lui dire ce qu'il devait faire.

Alors pour sauver son mariage et retrouver l'homme aimant du début de leur relation, Laura Doyle a tenté le tout pour le tout.

Elle a décidé d’abandonner tous reproches et critiques envers son mari !

C'est désormais lui qui gère les paiements du couple et il fait lui-même son choix de vêtements.

S’il décide de mettre des chaussettes rayées avec un pantalon à carreaux, elle évitera de le critiquer et lui dira: «C’est comme tu veux, mon chéri».

S'il lui demande conseil, elle lui répondra "mais tu sais faire ça très bien, chéri!"

Pourquoi se soumettre, après nous être tant battues pour l’émancipation?

Parce que, selon Laura Doyle, nous y gagnerons toutes au change.

A force de ne plus recevoir de critiques, aussi constructives soient-elles, l’homme de votre vie se verra dans l’obligation d’avoir un peu plus de jugement, et de se montrer responsable de ses propres actions.

Au lieu de se sentir diminué, il se sentira renforcé dans sa virilité, dans son côté "chevalier servant" et se mettra à prendre soin de vous, ce dont toutes les femmes rêvent, n’est-ce pas?

Les rôles seront clairs et l’épouse pourra, s'il elle accepte de déléguer, enfin se décharger !

On pourrait s’offusquer devant ses propos, pas seulement réducteurs pour les femmes, mais aussi pour les hommes – qu’elle propose de manipuler comme des enfants. Mais est-ce vraiment de la manipulation, si c'est pour le rendre plus heureux? c'est simplement bien connaître sa manière de fonctionner !

Sous de bonnes intentions, Laura Doyle cache une certaine ruse

Cessez de vouloir tout contrôler, dit-elle, et vous aurez ainsi plus de pouvoir…
Parce que nous pouvons être "castratrices" sans le savoir, alors que notre intention est de tout faire pour qu'il soit bien.
ERREUR ! L'homme ne réagit pas comme nous, n'a pas les mêmes besoins, ni les mêmes réactions !


Le livre a connu un immense succès dès sa sortie aux États-Unis. L’auteure organise même des séminaires qui sont très populaires.

Des cercles de femmes se forment à travers les États-Unis pour discuter du sujet et de leurs expériences réciproques !

Mais pourquoi tant de femmes, et aussi pas mal d’hommes, se tournent donc vers un livre aussi rétrograde?

Le couple est en crise et il a soif de solutions.La femme a voulu devenir l'égal de l'homme et il y a confusion des genres !

Les livres de psychologie populaire ont déjà eu du succès en offrant quelques "codes" de fonctionnement du couple : la collection "Mars et Vénus, notamment.

Malgré son aspect atrocement réducteur, le livre de Laura Doyle apporte quelques suggestions intéressantes.

Elle démontre que les femmes qui cherchent à tout contrôler perdent à la fois leur respect envers leur partenaire et envers elles-mêmes.

Essayez de laisser une fois votre mari organiser toute une soirée....sans intervenir.....Le sentiment de vulnérabilité (et de frustration!) ressenti lors d' un tel exercice peut être révélateur de la puissance de votre besoin de contrôle !

Contrôler son mari suggère que vous l'estimez INCAPABLE de faire les choses par lui-même...

Et c'est le message sous-jacent qu'il va recevoir de votre part....il se sentira infantilisé...castré...

Alors par réaction, pour se sentir puissant, il va avoir des comportements agressifs ou exagérés dans certaines activités masculines (boire, sortir, marquer son pouvoir de différentes façons....)

Laura Doyle suggère aussi de respecter et d’honorer les différences entre les hommes et les femmes en évitant toute critique, qui risque de toute manière de finir en dispute.

Les éléments que Laura Doyle apporte sont les mêmes que ceux suggérés par la plupart des thérapeutes de couple.
 Mais elle précise qu’il y a certains hommes auxquels il ne faut jamais se soumettre (les violents, abusifs ou toxicomanes).

Mais pour les autres hommes, on pourrait remplacer le mot "se soumettre" par "lui laisser sa liberté"....liberté de faire les choses à sa façon (même si on estime qu'il fait moins bien que nous..) liberté d'être tel qu'il est. Et curieusement, il ne pas en abuser, puisqu'il sait qu'il a, cette liberté....!

Le contrôler, c'est très réducteur, on dirait même "castrateur" !

C'est lui envoyer le message subliminal qu'il est incapable de se débrouiller sans nous !

Et soyez en certaines, il va bien le percevoir, ce message, et voudra se prouver à lui-même qu'il est un homme, qu'il est autonome...

Cessez le contrôle et il n'aura plus besoin de ces comportements exagérés!
Et si le couple est plus heureux ainsi??? c'est tant mieux pour tout le monde !

Suite du premier article "les femmes castratrices malgré elles", dans la même catégorie.


Le Nirvana Josette Sauthier
www.josettesauthier.ch


Etes-vous une femme castratrice ?


Je voudrais partager avec vous un livre que j'ai beaucoup aimé et qui m'a fait réfléchir...Femmes soumises ou comment garder son mari en lui disant toujours OUI, écrit par une américaine Laura Doyle
A première vue, le titre fait bondir....Mais....si c'était ça la façon d'être aimée comme on le voudrait?

Après avoir suggéré à bien des patientes de mettre en pratique ces "préceptes" dans leur couple, je peux vous dire que les résultats ont été plus que positifs (pour tous!) et sans tarder, aussi incroyable que ça paraisse...!

Mais quand on a compris comment fonctionnent les hommes et ce qui met en valeur leurs qualités et leur force, ça devient tellement logique! Plus on cherche à "contrôler" notre conjoint, plus il nous échappe, plus il "résiste", à sa façon (boire plus que de raison, sortir avec ses copains, ne plus faire de câlins, ou exagérer un de défauts que nous lui reprochons.....)

En montrant notre côté "féminin et vulnérable", l'homme développe sa masculinité, son désir de s'occuper de sa femme, d'être attentionné et protecteur....et pour le bénéfice de qui??? de nous, bien entendu !

Voyons ce que dit Laura Doyle :

"Au début, notre mariage était béni. Puis j'ai commencé à voir les défauts de mon mari avec plus d'acuité et j'ai voulu corriger ses travers. C'était ma façon de l'adier à s'améliorer. En réalité, j'essayais de le contrôler. Et les hommes détestent plus que tout "être contrôlés"...Quatre ans seulement après nous être dits "oui", notre mariage était en grand danger.
Ma solitude était devenue tellement forte que j'étais résolue à tout tenter pour sauver notre couple.
J'ignorais encore que j'allais accomplir mes premiers pas vers la soumission!"

Qui est Laura Doyle ?

Wonderwoman libérée, Laura Doyle enchaîne tous les succès dans sa vie professionnelle. Cependant, sa vie conjugale tourne au fiasco. Analysant la situation, elle décide un jour d'endosser un rôle nouveau, celui de femme soumise. Le résultat est tout de suite convaincant.

Elle retrouve un homme sûr de lui, conforté dans ses pouvoirs masculins, aimant, attentionné, protecteur et attentif aux désirs de son épouse. Avec humour et sincérité, Laura prêche dans dons son livre le retour aux valeurs traditionnelles du couple (l'homme décide, la femme susurre :"comme tu voudras, mon amour").
Aussi, pour garder vogre conjoint, dites AMEN à tout. ;-) (quel soulagement aussi, de ne plus avoir à argumenter....!)

Ne prenez plus d'initiative, ne le contrariez plus, et ne lui faites plus de reproches...confiez lui des responsabilités, ne le dirigez pas en voiture non plus, laissez-le choisir ses vêtements tout seul, laissez le tout organiser et faites lui enfin confiance !

Autant de conseils qui vont à l'encontre de notre discours féministes...ET CA MARCHE! Même si au début, c'est dur!

Malheureusement le livre ne se fait plus et est épuisé.

A suivre : "Les femmes castratrices malgré elles, 2ème partie", dans cette même catégorie "Relations amoureuses"

Ecrit par Josette Sauthier, copie interdite

Le Nirvana Josette Sauthier
www.josettesauthier.ch



Se protéger des manipulateurs


Nous avons tous dans notre entourage des personnes manipulatrices. Comment s'en protéger et comment ne pas entrer dans leur jeu?

Nous sommes manipulés par la publicité, par les médias, peut-être par des amis, des collègues ou notre conjoint, des membres de notre famille, même par nos parents, nos enfants.

Il est parfois difficile de mettre des limites mais leur comportement est aussi dû à ce que nous avons laissé faire jusqu'à maintenant.

Les manipulateurs iront aussi loin que vous le permettrez. Si nous renversons la situation, il faut s'attendre à des réactions de surprise de la part de notre interlocuteur.

Les manipulateurs sont des gens qui ont remarqué votre vulnérabilité et qui en profitent.

Il faut poser clairement nos limites et apprendre aux autres à vous traiter comme vous désirez l'être. 
Plus facile à dire qu'à faire, mais un "NON, là je ne suis pas d'accord" a le mérite de couper court à toute tentative.

Il faut avoir la ferme conviction intérieure que vous avez LE DROIT de dire non, d'avoir d'autres projets, de ne pas être disponible, etc.

Vous êtes aussi valable que l'autre, qu'il soit diplômé, supérieur hiérarchique ou plus âgé, votre valeur humaine a autant d'importance que la sienne.

Plus vous serez sûr que vos droits sont aussi importants que ceux de votre vis-à-vis, plus vous arriverez à être ferme, à vous affirmer, à prendre VOTRE PLACE.

Si votre chef vous surcharge et dépasse les limites acceptables pour vous, dites lui fermement que ce soir, vous ne pouvez pas rester car vous n'avez pas été prévenue, vous avez quelque chose d'important de prévu. Même (et surtout) si c'est un tête-à-tête avec vous-mêmes.
Rendre service est une chose, mais laisser les autres profiter de vous, ça non !

Mais vous pouvez négocier pour un autre jour éventuellement.

Si un proche essaie de vous manipuler par la pitié et la compassion, et que vous ne vous sentez pas le courage de le supporter là tout de suite, donnez-vous le droit de refuser de l'écouter en ce moment et dites-lui que vous êtes occupée, sans culpabiliser...

Proposez-lui un autre moment qui vous conviendra mieux.

Vous pouvez exprimer votre désaccord de manière ferme sans être agressive, la force tranquille.

Aimez vous et respectez vous. Si vous vous estimez digne de respect, vous arriverez plus facilement à mettre des limites à ce que vous tolérez.

L'essentiel est d''être claire avec vous-mêmes, et de dire OUI quand c'est oui à l'intérieur de vous et NON quand vous n'êtes pas d'accord.

Un acte vaut mieux que mille paroles, c'est quand votre entourage aura constaté que vous n'êtes plus décidée à vous laisser faire qu'il commencera à mieux vous respecter. Mais il vous respectera quand VOUS saurez vous respecter, c'est-à-dire oser dire NON quand ça ne vous convient pas.

Essayez, c'est le premier pas qui coûte, mais aussi, quelle victoire sur vous-même ! Qui vous encouragera pour la suite !
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Savoir dire NON sans culpabiliser



Comment savoir dire NON sans culpabiliser et sans avoir peur de blesser l'autre par notre refus.
Dire NON à l'autre, ça ne veut pas dire que vous n'aimez pas rendre service, mais ça veut dire que vous choisissez de dire OUI seulement quand c'est un VRAI OUI pour vous, donc que vous vous aimez aussi et que vous vous respectez.

Pourquoi a-t-on de la peine à dire NON ?

Pour faire plaisir à l'autre ? Pour être accepté ou aimé? pour avoir de la reconnaissance ou une faveur ? Pour ne pas contrarier ou blesser l'autre, par pitié ? Pour avoir la paix? ou parce qu'on ne SAIT PAS dire non ?

Dire OUI à l'autre, par obligation, c'est dire NON à soi-même, c'est ne pas se respecter !

C'est penser que l'autre est plus important que nous, qu'il a plus de droits que nous.

Bien sûr, on peut rendre service et dire OUI de bon coeur, mais il arrive parfois qu'on dise OUI alors qu'on n'a aucune envie ! A force de ne pas savoir mettre des limites, on court vers l'épuisement, la frustration et de la rancune envers la personne qui nous demande "trop" !

Je veux parler ici des personnes qui disent toujours OUI et qui n'en peuvent plus ! Qui ont l'impression de se faire chaque fois manipuler ! Ou qui ont l'impression d'être victime des autres. Ou qui ont toujours dû "courber l'échine", se soumettre, devant des parents sévères.

Comment dire NON à quelqu'un, fermement, gentiment, sans le blesser ? et sans culpabiliser ni chercher à vous justifier ?(ce qui veut dire que vous vous sentez coupable).

Déjà, il faut avoir compris que vous AVEZ LE DROIT DE DIRE NON.

Commencez votre phrase par NON, car c'est un mot qui veut déjà tout dire.... "NON, désolée, mais ce n'est pas possible, je suis occupée", ou "NON ça ne va pas pour cette fois, j'ai déjà prévu autre chose" , je suis très occupée en ce moment....si la personne devient insistante et vous demande des détails, dites que vous n'avez pas le temps maintenant ou que vous lui en parlerez peut-être la prochaine fois.

Proposez-lui un autre moment qui vous conviendra mieux (si vous avez envie de rendre service à la personne). En choisissant un autre moment, vous aurez l'impression de gérer la situation, d'avoir eu le choix, et non pas d'avoir subi la volonté de l'autre.

Aimez vous et respectez vous. Si vous vous estimez digne de respect, vous arriverez plus facilement à mettre des limites à ce que vous tolérez.

L'essentiel est d'être claire avec vous-même, et de dire OUI quand c'est oui à l'intérieur de vous et NON quand vous n'êtes pas d'accord. Ce n'est pas être égoïste, ce n'est pas être méchante. Un service rendu de bon coeur a beaucoup plus de valeur qu'un service rendu à contrecoeur.

Un acte vaut mieux que mille paroles, c'est quand votre entourage aura constaté que vous n'êtes plus décidée à vous laisser faire qu'il commencera à mieux vous respecter.

N'attendez pas d'être excédée, ou la fois de trop qui sera la goutte d'eau qui fait déborder le vase !

Dire NON avec empathie, c'est possible, et en général, ça passe bien !

Même si, au début, lorsque vous opposez un refus clair et ferme, vous risquez de décontenancer les gens, de provoquer des réactions de rejet, vous aurez aussi l'occasion de voir QUI sont vos vrais amis : ceux qui accepteront votre "NON", et aussi ceux qui vous féliciteront d'arriver enfin à mettre des limites !

Josette Sauthier, copie interdite

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